Cette banderole évoque tellement de souvenirs. Les enfants que nous étions profitions de la totale "implication" et participation de nos pères à cet évènement de franche cordialité pour faire mille bêtises et experiences.
Je me souviens du Curé du village trônant comme un évêque en bout de table et ne buvant le Chateau Chambert ou autre "jaja" moins délicat que dans son calice !
Je me souviens que nous avions tenté une opération commando chez un vieux militant communiste mauvais coucheur et réfractaire à ces moments de fraternité. Celui ci avait ouvert sa fenêtre armé de son fusil de chasse. Pascal, le fils de l'épicier m'avait alors plaqué le visage contre terre.
Le même Pascal qui me fabriqua ma première canne à pêche avec laquelle nous sortions quelques truites dela Masse.
Terrain de jeu extraordinaire et véritable parcours initiatique, lorsque nous étions pris les mains dans la "Masse" à échafauder je ne sais quel barrage ou autre techniques de braconage,à faire le "mur" pour observer les feux follets du cimetière ou lorsque la cloche retentissait nous rappellant que nous allions mettre en retard nos parents pour "dîner"et quels "dîners" et bien nous baissions la tête le temps de laisser passer l'orage et de recommencer de plus belle....en pire
Si comme Alfred Braudel vous pensez que nous ne sommes pas seulement d'une province mais d'une région et qu'elle est une part de notre identité, si vous souhaitez échanger, discuter de notre belle région qui nous manque tant, alors action... Nicolas(LIBER46)
samedi 18 décembre 2010
lundi 6 décembre 2010
Un Lotois interpellé au volant avec un taux d'alcoolémie de 5 g d'alcool /
Réagir18.11.2010, 12h09 Un chômeur de 52 ans a été interpellé à Gourdon, dans le Lot, au volant de sa voiture avec un taux d'alcoolémie de 5 g/l, après un accident qui l'a immobilisé à quelques mètres de l'entrée de sa maison, a-t-on appris jeudi auprès des gendarmes.
Selon les gendarmes, qui ont qualifié d'"exceptionnel" ce taux d'alcoolémie, l'homme avait consommé plus d'une vingtaine de boissons alcoolisées.
Après un apéritif copieusement arrosé le 7 novembre, le conducteur a traversé un chantier, causant des dégâts matériels, avant de heurter un mur, à proximité du portail d'entrée de sa villa, détruisant au passage sa voiture.
Les riverains ont alerté les gendarmes, qui ont découvert un homme "qui ne tenait pas debout", selon le capitaine Gérard Catala, officier de communication des gendarmes du Lot.
"C'est une chance qu'il n'ait tué personne", a-t-il souligné.
Le chauffard a été hospitalisé, puis convoqué à la gendarmerie, pour lui signifier un retrait du permis de conduire pendant 6 mois.
Il sera jugé en mars par le tribunal correctionnel de Cahors.
Le capitaine Catala a précisé que, comme il n'arrivait pas à souffler avec suffisamment de force dans l'éthylomètre, une prise de sang avait dû être faite pour évaluer la présence d'alcool.
"Un citoyen qui s'alcoolise de la sorte de manière occasionnelle, il est dans le coma, lui, il conduisait. Il semble souffrir d'une forte addiction à l'alcool", a précisé le capitaine Catala.
Hey Catala, c'est qu'il n'est pas lambda le gars con......
source : AFP
Selon les gendarmes, qui ont qualifié d'"exceptionnel" ce taux d'alcoolémie, l'homme avait consommé plus d'une vingtaine de boissons alcoolisées.
Après un apéritif copieusement arrosé le 7 novembre, le conducteur a traversé un chantier, causant des dégâts matériels, avant de heurter un mur, à proximité du portail d'entrée de sa villa, détruisant au passage sa voiture.
Les riverains ont alerté les gendarmes, qui ont découvert un homme "qui ne tenait pas debout", selon le capitaine Gérard Catala, officier de communication des gendarmes du Lot.
"C'est une chance qu'il n'ait tué personne", a-t-il souligné.
Le chauffard a été hospitalisé, puis convoqué à la gendarmerie, pour lui signifier un retrait du permis de conduire pendant 6 mois.
Il sera jugé en mars par le tribunal correctionnel de Cahors.
Le capitaine Catala a précisé que, comme il n'arrivait pas à souffler avec suffisamment de force dans l'éthylomètre, une prise de sang avait dû être faite pour évaluer la présence d'alcool.
"Un citoyen qui s'alcoolise de la sorte de manière occasionnelle, il est dans le coma, lui, il conduisait. Il semble souffrir d'une forte addiction à l'alcool", a précisé le capitaine Catala.
Hey Catala, c'est qu'il n'est pas lambda le gars con......
source : AFP
vendredi 3 décembre 2010
lotois et fier de l'être/appel à la solidarité lotoise !!!
Lotois et fier de l'être,
Un petit appel à la communauté facebook des lotois qui voudraient bien venir s'inscrire sur ce blog et/ou enregistrer des commentaires
Un petit appel à la communauté facebook des lotois qui voudraient bien venir s'inscrire sur ce blog et/ou enregistrer des commentaires
lundi 29 novembre 2010
dimanche 28 novembre 2010
Pas gai le dimanche soir.....heureusement il y a Lolo
Parce qu'il est difficile de s'être déplacé au stade de France hier soir pour assister à une telle humiliation face aux wallabies, parce que nous sommes dimanche soir et que ça n'est jamais très gai et qu'un bon retour sur les histoires des phénomènes du rugby, loin du star system dotés d'une fierté énorme qui fait défaut parfois dans le rugby français, pour toutes ces raisons lolo accepte de nous faire chaud au coeur en nous comtant son anecdote rugbystique. Merci à toi mon Lolo !!! cliquer sur le lien qui suit.
http://www.youtube.com/watch?v=UnEBFaS0CAQ
http://www.youtube.com/watch?v=UnEBFaS0CAQ
vendredi 26 novembre 2010
petite reflexion sur le nombre "46"
Tout d'abord le 4. Attachons nous à faire le tracé de ce chiffre avec la main. Ne s'agit t'il pas du signe de croix !
C'est ni plus ni moins le parcours de la bénédiction me semble t'il. Il me reste bien plus que des notions de mon éducation catholique.
Donc reprenons ce parcours christique de la main forme un 4 avec une rotation d'un quart de tour sur la gauche. Et à gauche bien sûr c'est le côté du coeur ! Je vois également une croix christique cachée dans le 4.
Le 6 maintenant. Le 6 se dirige vers la droite, vers le haut et donc vers la lumière. Il symbolise donc à mes yeux la connaissance.
D'ailleurs si l'on trace le chiffre 6 on s'aperçoit qu'il décrit le parcours d'une clef dans une serrure.
L'idée qu'il représente la lumière et donc la connaissance est juste. C'est la clef qui ouvre vers la compréhension mais cela peut être également la clef des mystères, et oui !!!
En tout cas c'est le symbole de l'esprit.
En résumé le 4 forme une quatradure, un carré stable, qui nous relie à la terre. C'est donc la terre et la matière.
Le 6 à l'inverse est composé de courbes et c'est donc le symbole de l'esprit.
Le 46 symbole de l'esprit et de la matière c'est plutôt satisfaisant non pour les lotois ?
Je file faire immatriculer mon auto 46.
On ne sait jamais, si la maréchaussée est sensible aux notions de l'esprit et de la matière, de la connaissance,de la lumière ainsi que de la charité chrétienne.......!!!
Liber 46
C'est ni plus ni moins le parcours de la bénédiction me semble t'il. Il me reste bien plus que des notions de mon éducation catholique.
Donc reprenons ce parcours christique de la main forme un 4 avec une rotation d'un quart de tour sur la gauche. Et à gauche bien sûr c'est le côté du coeur ! Je vois également une croix christique cachée dans le 4.
Le 6 maintenant. Le 6 se dirige vers la droite, vers le haut et donc vers la lumière. Il symbolise donc à mes yeux la connaissance.
D'ailleurs si l'on trace le chiffre 6 on s'aperçoit qu'il décrit le parcours d'une clef dans une serrure.
L'idée qu'il représente la lumière et donc la connaissance est juste. C'est la clef qui ouvre vers la compréhension mais cela peut être également la clef des mystères, et oui !!!
En tout cas c'est le symbole de l'esprit.
En résumé le 4 forme une quatradure, un carré stable, qui nous relie à la terre. C'est donc la terre et la matière.
Le 6 à l'inverse est composé de courbes et c'est donc le symbole de l'esprit.
Le 46 symbole de l'esprit et de la matière c'est plutôt satisfaisant non pour les lotois ?
Je file faire immatriculer mon auto 46.
On ne sait jamais, si la maréchaussée est sensible aux notions de l'esprit et de la matière, de la connaissance,de la lumière ainsi que de la charité chrétienne.......!!!
Liber 46
jeudi 25 novembre 2010
Un aficionado surréaliste !
« C'est au terme de la promenade en voiture qui consacrait, en juin 1950, l'ouverture de la première route mondiale - seule route de l'espoir - que Saint-Cirq embrasée aux feux de Bengale m’est apparue - comme une rose impossible dans la nuit.
Cela dût tenir du coup de foudre si je songe que le matin suivant je revenais, dans la tentation de me poser au coeur de cette fleur : merveille, elle avait cessée de flamber, mais restait intacte.
Par-delà bien d'autres sites - d'Amérique, d'Europe - Saint-Cirq a disposé sur moi du seul enchantement : celui qui fixe à tout jamais. J'ai cessé de me désirer ailleurs.
Je crois que le secret de sa poésie s'apparente à celui de certaines Illuminations de Rimbaud, qu'il est le produit du plus rare équilibre dans la plus parfaite dénivellation des plans.
L'énumération de ses autres ressources est très loin d'épuiser ce secret….
Chaque jour, au réveil, il me semble ouvrir la fenêtre sur les Très Riches Heures, non seulement de l'Art, mais de la Nature et de la Vie ».
André BRETON - Saint-Cirq-Lapopie, le 3 septembre 1951.
Cela dût tenir du coup de foudre si je songe que le matin suivant je revenais, dans la tentation de me poser au coeur de cette fleur : merveille, elle avait cessée de flamber, mais restait intacte.
Par-delà bien d'autres sites - d'Amérique, d'Europe - Saint-Cirq a disposé sur moi du seul enchantement : celui qui fixe à tout jamais. J'ai cessé de me désirer ailleurs.
Je crois que le secret de sa poésie s'apparente à celui de certaines Illuminations de Rimbaud, qu'il est le produit du plus rare équilibre dans la plus parfaite dénivellation des plans.
L'énumération de ses autres ressources est très loin d'épuiser ce secret….
Chaque jour, au réveil, il me semble ouvrir la fenêtre sur les Très Riches Heures, non seulement de l'Art, mais de la Nature et de la Vie ».
André BRETON - Saint-Cirq-Lapopie, le 3 septembre 1951.
vendredi 12 novembre 2010
Idole
Idole : personne que l'on admire avec une sorte de culte.
Je sais pas vous mais moi j'ai trouvé mon idole.
Le Général de Gaulle? trop austère.Churchill? trop roubelard. Elvis Presley? trop clinquant.Einstein? trop abstrait.Jacques Attali? trop mauvais.Zinedine Zidane? ça va pas non!
Moi mon idole c'est Lolo Pons !!! Un pur produit du Sud Ouest comme on les aime, élevage en plein air, garantie sans hormone....Cliquez sur l'adresse suivante pour apprécier un vrai moment d'authenticité et de pur bonheur http://www.dailymotion.com/video/x7jiyf_le-lavoir_fun
Je sais pas vous mais moi j'ai trouvé mon idole.
Le Général de Gaulle? trop austère.Churchill? trop roubelard. Elvis Presley? trop clinquant.Einstein? trop abstrait.Jacques Attali? trop mauvais.Zinedine Zidane? ça va pas non!
Moi mon idole c'est Lolo Pons !!! Un pur produit du Sud Ouest comme on les aime, élevage en plein air, garantie sans hormone....Cliquez sur l'adresse suivante pour apprécier un vrai moment d'authenticité et de pur bonheur http://www.dailymotion.com/video/x7jiyf_le-lavoir_fun
lundi 8 novembre 2010
Personnalité féminine quercynoise : à lire !
Marcelle MARQUES, de son nom d'état civil, naît en 1891 à Cherbourg où son père, Jean Marques, tient garnison en qualité d'officier d'artillerie et de marine. Elle est la deuxième fille d'une famille de quatre filles à laquelle se consacre une mère douce et attentionnée, Marceline Capy.
Les parents sont tous deux issus d'anciennes et solides familles paysannes de Pradines. Marcelle entame et poursuit, notamment à Toulouse, d'excellentes études secondaires, au cours desquelles elle manifeste des dons particuliers pour les disciplines littéraires. Après son baccalauréat elle entre, toujours à Toulouse, en classe préparatoire à l'École Normale Supérieure de Sèvres.
Enfant, puis adolescente, elle passe régulièrement ses vacances à Pradines chez ses grands-parents Capy auxquels elle voue une affection particulière. Elle s'attache à leur vieille demeure située sur un éminence, face à la vallée du Lot, en aval du bourg. Tous les siens la dénomment "Malte". Elle deviendra plus tard sa propriété. Son amour du vieux mas durera autant qu'elle.
Vers la dix-huitième année, une rencontre avec Jean Jaurès lui révèle sa véritable vocation : elle sera écrivain, journaliste et militante. Dès lors, dans ses livres, ses conférences, ses articles, elle soutient un triple combat :
· pour la paix, en dénonçant l'horreur et l'absurdité de la guerre
· en faveur de la femme, en soulignant son rôle fondamental dans la société moderne, qu'a révélé avec éclat la guerre de 1914
· vers un socialisme humanitaire, de caractère surtout moral et philosophique, en prônant le devoir de solidarité et de compassion actives envers les individus qui souffrent et les peuples demeurés dans la misère.
En 1916, elle publie, sous le nom de Marcelle Capy, son premier ouvrage, préfacé par Romain Rolland : "Une voix de femme au-dessus de la mêlée". Toujours dans la période d'entre deux guerres, elle fait paraître "La défense de la vie" (1918), "L'amour Roi" (1925), et son ouvrage majeur "Des hommes passèrent...", couronné du prix Séverine. Ce roman raconte le passage, dans les familles de Pradines, de prisonniers allemands venus remplacer, aux travaux de la ferme, les hommes partis au front. Hymne à la réconciliation et la compréhension entre deux peuples ennemis, il est marqué d'une qualité d'écriture qui l'égale aux meilleures oeuvres littéraires de l'époque.
En marge de son travail d'écrivain, Marcelle Capy poursuit une carrière de journaliste, engagée dans le combat politique et philosophique, non sans revenir, fidèlement, à l'évocation de la vie paysanne qui demeure au centre de sa pensée et de son coeur. (On pense à Giono). Elle collabore à de nombreux journaux, notamment à "La Vague", hebdomadaire pacifiste, voir antimilitariste, dirigé par le député socialiste Pierre Brizon qui deviendra, un temps, son deuxième mari. Après la deuxième guerre mondiale, elle fait paraître deux nouveaux romans : "La vie tient à un fil" et "L'Égypte au coeur du monde". Elle rapporte de dernier d'un voyage en Égypte où elle s'est rendue auprès de sa soeur aînée, Jeanne Marques, femme cultivée, elle même journaliste et conférencière, liée aux milieux intellectuels, artistiques, de tendance progressiste, d'un pays qui s'éveille au monde moderne.
A partir des années 1950 elle se retire à Pradines, dans sa chère maison de Malte, vétuste certes, mais parée de couronnes qu'elle lui tresse volontiers. Désormais confrontée à une situation matérielle très modeste, malade et quelque peu oubliée, elle meurt en janvier 1962, après s'être rapprochée, au soir de sa vie, de la foi chrétienne, celle-là même de ses grands parents maternels.
sources : Docteur Pierre Gayet, Quercy.net
Les parents sont tous deux issus d'anciennes et solides familles paysannes de Pradines. Marcelle entame et poursuit, notamment à Toulouse, d'excellentes études secondaires, au cours desquelles elle manifeste des dons particuliers pour les disciplines littéraires. Après son baccalauréat elle entre, toujours à Toulouse, en classe préparatoire à l'École Normale Supérieure de Sèvres.
Enfant, puis adolescente, elle passe régulièrement ses vacances à Pradines chez ses grands-parents Capy auxquels elle voue une affection particulière. Elle s'attache à leur vieille demeure située sur un éminence, face à la vallée du Lot, en aval du bourg. Tous les siens la dénomment "Malte". Elle deviendra plus tard sa propriété. Son amour du vieux mas durera autant qu'elle.
Vers la dix-huitième année, une rencontre avec Jean Jaurès lui révèle sa véritable vocation : elle sera écrivain, journaliste et militante. Dès lors, dans ses livres, ses conférences, ses articles, elle soutient un triple combat :
· pour la paix, en dénonçant l'horreur et l'absurdité de la guerre
· en faveur de la femme, en soulignant son rôle fondamental dans la société moderne, qu'a révélé avec éclat la guerre de 1914
· vers un socialisme humanitaire, de caractère surtout moral et philosophique, en prônant le devoir de solidarité et de compassion actives envers les individus qui souffrent et les peuples demeurés dans la misère.
En 1916, elle publie, sous le nom de Marcelle Capy, son premier ouvrage, préfacé par Romain Rolland : "Une voix de femme au-dessus de la mêlée". Toujours dans la période d'entre deux guerres, elle fait paraître "La défense de la vie" (1918), "L'amour Roi" (1925), et son ouvrage majeur "Des hommes passèrent...", couronné du prix Séverine. Ce roman raconte le passage, dans les familles de Pradines, de prisonniers allemands venus remplacer, aux travaux de la ferme, les hommes partis au front. Hymne à la réconciliation et la compréhension entre deux peuples ennemis, il est marqué d'une qualité d'écriture qui l'égale aux meilleures oeuvres littéraires de l'époque.
En marge de son travail d'écrivain, Marcelle Capy poursuit une carrière de journaliste, engagée dans le combat politique et philosophique, non sans revenir, fidèlement, à l'évocation de la vie paysanne qui demeure au centre de sa pensée et de son coeur. (On pense à Giono). Elle collabore à de nombreux journaux, notamment à "La Vague", hebdomadaire pacifiste, voir antimilitariste, dirigé par le député socialiste Pierre Brizon qui deviendra, un temps, son deuxième mari. Après la deuxième guerre mondiale, elle fait paraître deux nouveaux romans : "La vie tient à un fil" et "L'Égypte au coeur du monde". Elle rapporte de dernier d'un voyage en Égypte où elle s'est rendue auprès de sa soeur aînée, Jeanne Marques, femme cultivée, elle même journaliste et conférencière, liée aux milieux intellectuels, artistiques, de tendance progressiste, d'un pays qui s'éveille au monde moderne.
A partir des années 1950 elle se retire à Pradines, dans sa chère maison de Malte, vétuste certes, mais parée de couronnes qu'elle lui tresse volontiers. Désormais confrontée à une situation matérielle très modeste, malade et quelque peu oubliée, elle meurt en janvier 1962, après s'être rapprochée, au soir de sa vie, de la foi chrétienne, celle-là même de ses grands parents maternels.
Son existence aura été riche de traverses (elle connut deux mariages malheureux, sans enfants, la détresse et la solitude), mais éclairée par le succès, la notoriété, la fréquentation de personnalités brillantes de la littérature et de la politique (Barbusse, Romain Rolland, Joseph Caillaux, Anatole de Monzie), les voyages de conférences en Europe, aux États-Unis, au Canada.
Ce qui donne un sens à cette vie, ce sont la force, la sincérité, la constance d'une généreuse conviction, servie par le talent d'une véritable femme de lettres.
sources : Docteur Pierre Gayet, Quercy.net
vendredi 5 novembre 2010
Une ballade dans le lot.....pas au hasard
Ce cliché devrait,normalement faire réagir certains blogeur inscrits !
La question est : oû ce cliché a t'il été pris ?
J'attends des réactions et commentaires !!!
La question est : oû ce cliché a t'il été pris ?
J'attends des réactions et commentaires !!!
vendredi 11 juin 2010
Les héros oubliés
Cette année la République oublie une fois de plus les héros qui font couler leur sueur et leur sang sur les près de l'hémisphère nord et sud.
Ces quasi anonymes qui "mouillent" le maillot bleu au péril de leur santé pour honorer leur patrie.
Ces besogneux de l'ovalie qui chantent la marseillaise aussi pendant la 3ème mi temps et qui ne feignent pas de pleurer d'émotion et de peur en scandant les paroles de notre chant national comme pour décupler leur hardiesse déja colossale.
Ceux là même qui en plongeant dans un attachement tellurique à leurs racines parviennent à porter haut les couleurs du maillot tricolore et les valeurs inhérentes à ce sport.
Valeurs que nos gouvernants de droite ou de gauche essaient de promouvoir à grand renfort de discours et de mesurettes.
Pourtant la promotion de la légion d'honneur de cette année épargne une fois encore nos combattants tricolores.
Continuez à vous briser les os, à vous broyer les oreilles chers anonymes, "aux inconnus la patrie reconnaissante".
Et puis en ces temps de surmédiatisation footballistique n'est il pas temps de comparer la noblesse de coeur qui anime nos joueurs de rugby pour incarner à ce point la nation à travers le combat véritable,pur et dur à la comédie permanente de ces divas du ballon rond qui sans pudeur feignent la blessure au moindre contact pour bénéficier d'un avantage, effectuent des simulacres insensés au moindre point marqué etc etc....
Evoquons Imanol Harinordoquy ce guerrier, appellé le vengeur masqué dont le match contre le munster mériterait bien l'érection d'une statue.
Fracture du nez, masque lui enserrant l'appendice nasal après opération, durement touché aux côtes mais présent sur le près, surpassant la douleur.
Bref revenons à cette indignation et à cette sous représentation des héros de l'ovalie en évoquant rapidement les promus sportifs de la légion d'honneur de cette année :
Chez les sportifs, Zinédine Zidane, le champion du monde de football 1998, est élevé au grade d’officier. Deux responsables sportifs, Jacques Lambert, directeur général de la Fédération française de football (FFF), est fait officier et Fernand Duchaussoy, président de la Ligue fédérale de football amateur (LFFA).
Qui ose dire que j'exagère. Alors quand les politiques,de tous bords se nimbent dans de beaux discours, évoquant une perte des valeurs de générosité, de respect de la république alors que celles ci sont bien permanentes pour un grand nombre encore faut il s'en aperçevoir et remercier ceux qui incarnent avec une grande humilité ces fondamentaux républicains parfois au péril de leur vie !
Ces quasi anonymes qui "mouillent" le maillot bleu au péril de leur santé pour honorer leur patrie.
Ces besogneux de l'ovalie qui chantent la marseillaise aussi pendant la 3ème mi temps et qui ne feignent pas de pleurer d'émotion et de peur en scandant les paroles de notre chant national comme pour décupler leur hardiesse déja colossale.
Ceux là même qui en plongeant dans un attachement tellurique à leurs racines parviennent à porter haut les couleurs du maillot tricolore et les valeurs inhérentes à ce sport.
Valeurs que nos gouvernants de droite ou de gauche essaient de promouvoir à grand renfort de discours et de mesurettes.
Pourtant la promotion de la légion d'honneur de cette année épargne une fois encore nos combattants tricolores.
Continuez à vous briser les os, à vous broyer les oreilles chers anonymes, "aux inconnus la patrie reconnaissante".
Et puis en ces temps de surmédiatisation footballistique n'est il pas temps de comparer la noblesse de coeur qui anime nos joueurs de rugby pour incarner à ce point la nation à travers le combat véritable,pur et dur à la comédie permanente de ces divas du ballon rond qui sans pudeur feignent la blessure au moindre contact pour bénéficier d'un avantage, effectuent des simulacres insensés au moindre point marqué etc etc....
Evoquons Imanol Harinordoquy ce guerrier, appellé le vengeur masqué dont le match contre le munster mériterait bien l'érection d'une statue.
Fracture du nez, masque lui enserrant l'appendice nasal après opération, durement touché aux côtes mais présent sur le près, surpassant la douleur.
Bref revenons à cette indignation et à cette sous représentation des héros de l'ovalie en évoquant rapidement les promus sportifs de la légion d'honneur de cette année :
Chez les sportifs, Zinédine Zidane, le champion du monde de football 1998, est élevé au grade d’officier. Deux responsables sportifs, Jacques Lambert, directeur général de la Fédération française de football (FFF), est fait officier et Fernand Duchaussoy, président de la Ligue fédérale de football amateur (LFFA).
Qui ose dire que j'exagère. Alors quand les politiques,de tous bords se nimbent dans de beaux discours, évoquant une perte des valeurs de générosité, de respect de la république alors que celles ci sont bien permanentes pour un grand nombre encore faut il s'en aperçevoir et remercier ceux qui incarnent avec une grande humilité ces fondamentaux républicains parfois au péril de leur vie !
lundi 31 mai 2010
Quand Gambetta se fachait
Vous l'avez certainement lu dans la presse cette semaine.
Découverte à l'Assemblée nationale d'un cachot de 2m sur 1m 50 avec un banc de pierre.
Ce cachot était emmuré et a été mis à jour lors de travaux.
Même l'historien de l'Assemblée en ignorait l'existence.
En revanche ce que l'on sait c'est que Gambetta, alors Président de la Chambre y avait fait enfermé un député d'extrême droite,rien que ça, dénommé Armand Léon de Baudry d'Asson !
Aujourd'hui ce cachot a été transformé en bureau affecté à....l'UMP. Pas d'ironie je vous prie !!!
Découverte à l'Assemblée nationale d'un cachot de 2m sur 1m 50 avec un banc de pierre.
Ce cachot était emmuré et a été mis à jour lors de travaux.
Même l'historien de l'Assemblée en ignorait l'existence.
En revanche ce que l'on sait c'est que Gambetta, alors Président de la Chambre y avait fait enfermé un député d'extrême droite,rien que ça, dénommé Armand Léon de Baudry d'Asson !
Aujourd'hui ce cachot a été transformé en bureau affecté à....l'UMP. Pas d'ironie je vous prie !!!
vendredi 21 mai 2010
Cahors au 13 heures de TF1 / cliquez sur ce titre pour visionner le reportage.Commentaires bienvenus!
Reportage dans le journal non pas de Claire Chazal mais de Jean-Pierre Pernaud sur Cahors.
Visite rapide du musée Henri Martin, pas trop mal.
Interview de la conservatrice du patrimoine.
En revanche il semble que les journalistes n'aient pas été très perspicaces ou peut être un peu trop englués dans leur parisianisme car interview d'une marchande des 4 saison du tarn et garonne, et oui, et qui nous parle des tomates...du tarn et garonne. Je rêve!!!
Dommage on sait tous qu'il y à une foultitude d'agriculteurs producteurs lotois présents sur le parvis de la cathédrale prêts à vanter la qualité des produits du département et pourquoi pas en patois pour rajouter une touche d'authenticité.Dommage dommage !!!
Le journaliste parle de rocamadours ! quelle hérésie.
Les cabécous ça vous arrache la gueule ?
Encore une fois on reste en surface, dans une certaine superficialité regrettable je trouve.
Par ailleurs on notera tous la bonne publicité réservée au Chateau Lagrézette sur le chapitre du vin de Cahors.
Les verres de dégustation "homologués" sont habilement tournés vers la caméra pour laisser entrevoir le logo du vignoble de Monsieur Alain Dominique Perrin dont la qualité du travail vinicole n'est d'ailleurs pas à mettre en doute.
Visite rapide du musée Henri Martin, pas trop mal.
Interview de la conservatrice du patrimoine.
En revanche il semble que les journalistes n'aient pas été très perspicaces ou peut être un peu trop englués dans leur parisianisme car interview d'une marchande des 4 saison du tarn et garonne, et oui, et qui nous parle des tomates...du tarn et garonne. Je rêve!!!
Dommage on sait tous qu'il y à une foultitude d'agriculteurs producteurs lotois présents sur le parvis de la cathédrale prêts à vanter la qualité des produits du département et pourquoi pas en patois pour rajouter une touche d'authenticité.Dommage dommage !!!
Le journaliste parle de rocamadours ! quelle hérésie.
Les cabécous ça vous arrache la gueule ?
Encore une fois on reste en surface, dans une certaine superficialité regrettable je trouve.
Par ailleurs on notera tous la bonne publicité réservée au Chateau Lagrézette sur le chapitre du vin de Cahors.
Les verres de dégustation "homologués" sont habilement tournés vers la caméra pour laisser entrevoir le logo du vignoble de Monsieur Alain Dominique Perrin dont la qualité du travail vinicole n'est d'ailleurs pas à mettre en doute.
jeudi 20 mai 2010
Concert des lotois "les Batignolles"
Concert les Batignolles le nouveau groupe d'Olivier Leite de la rue Kétanou le 21 mai à 17 heures au 155 rue de Saussure à Asnières sur Seine.
Venez nombreux.
Contact : Nicolas M au 06 88 40 41 34
Venez nombreux.
Contact : Nicolas M au 06 88 40 41 34
Naissance d'un tribun
"Je suis entré par effraction sur la scène du monde"écrivait Gambetta.
C'est en effet le 14 novembre 1868 que Léon Gambetta âgé de trente ans, inaugura sa carrière éclatante en plaidant pour le républicain Delescluze, inculpé d'avoir ouvert dans journal une souscription publique afin d'élever un monument "à la mémoire de Baudin, représentant du peuple, mort sur la barricade du faubourg Saint Antoine, le 3 décembre 1851".
La fougue du jeune avocat, accusateur de l'Empire autant que défenseur de son client, fit de son procès un évènement capital.
Au matin du 14 novembre, Gambetta était connu au Quartier Latin et dans quelques cafés.
Au soir de ce jour, il était fameux par toute la france, par toute l'Europe.
L'Impératrice aux Tuileries, interrogeait ses familiers : "Qu'avons nous donc fait à ce jeune homme?"
Le jeune homme venait de s'assurer l'audience du pays;il la retiendra jusqu'à son dernier souffle.
C'est en effet le 14 novembre 1868 que Léon Gambetta âgé de trente ans, inaugura sa carrière éclatante en plaidant pour le républicain Delescluze, inculpé d'avoir ouvert dans journal une souscription publique afin d'élever un monument "à la mémoire de Baudin, représentant du peuple, mort sur la barricade du faubourg Saint Antoine, le 3 décembre 1851".
La fougue du jeune avocat, accusateur de l'Empire autant que défenseur de son client, fit de son procès un évènement capital.
Au matin du 14 novembre, Gambetta était connu au Quartier Latin et dans quelques cafés.
Au soir de ce jour, il était fameux par toute la france, par toute l'Europe.
L'Impératrice aux Tuileries, interrogeait ses familiers : "Qu'avons nous donc fait à ce jeune homme?"
Le jeune homme venait de s'assurer l'audience du pays;il la retiendra jusqu'à son dernier souffle.
samedi 15 mai 2010
Je me sens on ne peut plus proche de cette phrase de Fabien Galthié !
« C'est un grand bonheur bien sûr, de grandes émotions, et l'on se rend compte que l'on est sur terre pour ça finalement. Le reste... ça nous occupe. J'ai fait un petit parisien. Ce sera le premier Galthié né dans la capitale. D'habitude, ils naissent tous à Cahors, dans le Lot voire dans l'Aveyron ».
vendredi 14 mai 2010
Inauguration ce jour du blog des cadurciens expatriés à Paris et région parisienne
Bonjour les Cadourques,
Si comme Alfred Braudel vous pensez que nous ne sommes pas seulement d'une province, mais d'une région et qu'elle est une part de notre identité, si vous souhaitez échanger, discuter sur notre belle cité qui nous manque tant, alors action....
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